Pourtant, c'est plutôt sympa, sociologiquement parlant, les courses : on se confronte à la vraie vie, et c'est assez marrant de côtoyer les râleurs, les pressés, les enfants qui piaillent... Sans rire, j'adore faire les courses ! Ce qui est drôle, c'est de comparer l'ambiance des grandes surfaces françaises, assez bruyante, avec elle, beaucoup plus feutrée, que l'on rencontre en Allemagne -sauf un magasin, juste après la frontière, très bruyant, et fréquenté uniquement par des français, mais où nous n'allons plus-.
Je n’aime pas faire les courses. En tout cas, j’évacue la corvée le plus vite possible, j’évite totalement les hypermarchés genre Carrefour et Géant Casino, je deviens fou à chaque fois que je m’y aventure. Mais je reconnais le coté sociologique de l’endroit. Mais pour être franc, même si ça m’amuse encore parfois d’observer toute cette agitation, je la supporte de moins en moins. En fait je trouve tout autant mon bonheur sociologique dans les vide-greniers, avec un public pas si différent. Et des silhouettes que ‘loin retrouve de vide-greniers en vide-greniers (tiens ça me donne une idée d’article)…
(Question blogs, pour le moment, je vais poursuivre sur les deux. Je sais, deux fois plus de boulot… C’est ballot ! La preuve avec deux fois nos quasi mêmes réponses - copier/coller rapide)…
Pourtant, c'est plutôt sympa, sociologiquement parlant, les courses : on se confronte à la vraie vie, et c'est assez marrant de côtoyer les râleurs, les pressés, les enfants qui piaillent... Sans rire, j'adore faire les courses !
RépondreSupprimerCe qui est drôle, c'est de comparer l'ambiance des grandes surfaces françaises, assez bruyante, avec elle, beaucoup plus feutrée, que l'on rencontre en Allemagne -sauf un magasin, juste après la frontière, très bruyant, et fréquenté uniquement par des français, mais où nous n'allons plus-.
Je n’aime pas faire les courses. En tout cas, j’évacue la corvée le plus vite possible, j’évite totalement les hypermarchés genre Carrefour et Géant Casino, je deviens fou à chaque fois que je m’y aventure. Mais je reconnais le coté sociologique de l’endroit. Mais pour être franc, même si ça m’amuse encore parfois d’observer toute cette agitation, je la supporte de moins en moins. En fait je trouve tout autant mon bonheur sociologique dans les vide-greniers, avec un public pas si différent. Et des silhouettes que ‘loin retrouve de vide-greniers en vide-greniers (tiens ça me donne une idée d’article)…
Supprimer(Question blogs, pour le moment, je vais poursuivre sur les deux. Je sais, deux fois plus de boulot… C’est ballot ! La preuve avec deux fois nos quasi mêmes réponses - copier/coller rapide)…