humeur classique





Je suis d’humeur classique ce matin.

Sans doute à cause de l’influence néfaste de mon camarade Diablotin. Mais en même temps, ça a commencé jeudi soir avec Arnold Schœnberg et sa Nuit Transfigurée, dans une interprétation luxuriante de Karajan. Et donc ce matin, je retrouve Schœnberg mais dans une version en sextuor à cordes dirigée par Pierre Boulez. Et bien sur, avec Boulez, sans doute moins de lyrisme, moins de luxe, mais une très belle version également. Et puis j’enchaine en ce moment avec Sibelius, sa très belle symphonie N°4 par Karajan. Et c’est tout bonnement somptueux ! C’est beau à en pleurer de bonheur !



Et pour l’extrait, histoire de ne pas faire de jaloux entre Boulez et Karajan, le Quartet Arditti dans Schœnberg. Bonne écoute.









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